Merci de votre
succulent envoi, dont je vous remercie.
Je vous lis avec un plaisir certain. Vous
avez une écriture qui est
plus que
propre. Non seulement la phrase est vive et courte, sans faute
aucune, du moins à ma connaissance,
mais vous excitez le goût de la
lecture.
L'attente est vive. On tourne la page
avec passion. C'est de surcroît
délicat. Votre sens du fantastique est une
réussite.
Alors, bien sûr, je
serais heureux que vous nous rejoigniez. Mais je
vais plus loin d'emblée : je serais honoré
que vous nous confiez, pour
la revue à
paraître cet été, le n° 9 en cours de préparation jusqu'au
mois de mai au plus tard, une douzaine,
voire une quinzaine de pages,
environ.
Par ailleurs, il me semble que
vous devriez réunir un recueil de 120 à
160 pages et le soumettre en mains propres
à un éditeur d'abord
régional
peut-être. Tentez votre chance, ce que vous écrivez en vaut la
peine.
Voilà, en toute franchise et
avec plaisir, ce que je peux vous dire.
Bien cordialement à vous,
Pierre. Critique littéraire.
Tous mes remerciements bien tardifs mais
chaleureux pour le recueil que vous m'avez adressé par
l'intermédiaire de Théo. J'ai beaucoup apprécié ces nouvelles
qui mêlent humour et fantastique. Je travaille actuellement
sur ce genre littéraire avec une classe de cinquième.
M'autoriseriez-vous à lire une ou deux de vos nouvelles aux
élèves ? J'aime particulièrement "Après", "Cycle" et
"Vengeance" ... et la justesse de la citation en exergue
!
A
bientôt, je l'espère, et encore merci !
Brigitte. Prof. de littérature.
Un ptit mot pour vous remercier des bons
moments que la lecture de vos
ouvrages
me fait passer. J'aime entrer de plain pied dans un récit dès
les premiers mots comme je l'ai fait en
vous lisant. Je n'ai certes pas
une
grande culture littéraire, je lis peu d'ordinaire, je ne sais
pas
pourquoi je dis cela, cela n'a guère
d'importance finalement, cela ne
m'a pas
empeché d'apprécier ce trait de crayon aiguisé d'humour avec
lequel vous croquez ce monde de moins
en moins humain dans lequel nombre
d'entre nous (voire tous ?) sont obligés de
gagner (de perdre ?) leurs
vies.
En même temps j'ai trouvé plein de
tendresse, de douceur, pour
l'Humain,
tel qu'il est, tel qu'il pourrait être, tel qu'il sera
peut-être ...
Pour
utiliser une banalité, je dirais : "J'aime beaucoup ce que
vous
faîtes", je préférerai donc vous
dire que : "Je me suis retrouvé dans le
message d'humanité et d'amour qui se cache
derrière ce que vous faîtes".
Merci.
Kristof
Les choses sont
claires: Vous êtes un homme de bien. Noblesse de l'âme et
intelligence.
Dans ces temps si
noirs, vous avez une mission auprès des jeunes.
Je parlerai de vos livres partout où je
passerai. Bien sûr, je comprends que les écoles vous
demandent. Vous êtes du genre à faire des conférences pour
éclairer la jeunesse.
Félicitations et merci pour ce que vous
êtes... Un homme de Dieu. Cela est grandement réconfortant.
Vos petits-enfants doivent êtres fiers de vous. Je les imagine
bien.
Diane
de Gemma. Auteur
Salut Claude, j'ai parcouru ton site,
certes rapidement, mais j'ai pu constater que la présentation et la
structure sont abouties. Loin de l'organisation brouillonne de
certains sites commerciaux, qui ont pourtant pignon sur rue !
Encore bravo.
J'ai
apprécié notre discussion d'hier soir, qui me conforte encore
dans l'idée que tu es un "marchand de
rêves", et j'aime ça. Cordiales salutations.
Jean-michel
Au moment
où je vous écris ce mail, je suis dans un train du XXIe
siècle.
La SNCF
existe encore et a toujours du retard!
Au plaisir
de lire vos histoires de voyage que j'ai trouvées poétiques
pour
certaines
d'entre elles, graves pour d'autres. Je ne doute pas que vous
les
reconnaîtrez par vous-même sans que je
n'aie besoin de vous le préciser.
Quelque
pont commun à toutes : elles se passent après 2010 que
s'est-il
donc passé
en 2010 ou qu'augurez vous qu'il se passe?
L'écologie,
la crainte de la disparition du papier (et pour cause!)
des
hommes
toujours en personnage principal et la sauvegarde de la
planète et de
notre
espèce grâce aux robots ou toute invention
similaire... sauf pour le plus long des voyages. Le
dernier, l'ultime avec tant de paix.
Et si vous
étiez Sam, vous sauriez alors nous dire à quoi ressemble la
station "Paradis"!
J'ai eu
grand plaisir à rentrer dans ce monde imaginaire. À partager d
7 à 77 ans.
Bien à vous,
Sophie
Salut Pounon,
Sais-tu que tes histoires ont un grand
pouvoir thérapeutique. J'étais hier à
moitié terrassé par une espèce de crève qui
m'arrachait les poumons, je n'ai
rien trouvé de mieux que de me coller au
lit en plein après-midi. Quand je
me suis réveillé seul à la maison (ma femme
était partie à une fête), la
nuit était tombé. J'étais toujours malade
et je n'avais pas le courage de me
lever. J'ai regardé la trentaine de
bouquins qui attendent sur une étagère
que je daigne bien les choisir. Rien ne me
tentait, pas l'énergie... et puis
soudain je suis tombé sur celui que je t'ai
acheté aux Mots Doubs. Je l'ai
pris sans trop de conviction et dès les
premières pages je suis parti dans
l'espace en laissant ma maladie. Ce n'est
pas des histoires à dormir debout
que tu écris, mais bien des contes à
réveiller les mourants.
J'ai passé un super moment en compagnie de
tes personnages et je t'en
remercie.
J'ai été très sensible à ton côté écolo :
comment ne pas être atterré par ce
qui nous attend ? Alors restons sur le pont
et soyons vigilant !
Alors, cher auteur indépendant, je salue
ton talent.
A bientôt peut-être sur un autre salon,
coincé entre deux piles de bouquins,
au milieu des familles désoeuvrées qui
errent en troupeaux.
PS : J'ai jeté un coup d'oeil à ton site :
certaines de tes histoires ne
sont pas si fictive que ça !
Amicalement,
J-Marie. Auteur
Au risque de vous peiner autant que
Domenech si je lui confiais que je n'aime pas le football, je
dois vous avouer une de mes tares irrémédiables: je
suis totalement allergique (et c'est un euphémise) à la
science fiction. Je me garderai donc, vous le comprendrez, de
porter le moindre jugement sur celles de vos nouvelles qui se
rattachent à ce genre, étant entendu que ce n'est nullement
votre talent qui est en cause, ni même la SF. Dans le genre,
avez-vous tenté votre chance auprès des maisons d'édition
spécialisées?
En revanche, j'ai bien aimé les
nouvelles hors de ce champ -celles justement que vous avez eu
la bonne idée de mettre sur le CD- Vous avez indiscutablement
une "patte", comme on dit et parvenez à créer un véritable
climat, ce qui est essentiel.
Bonne
création.
René G. Auteur
J'ai pris "le train de 3H13" pour un
"Dernier voyage" que j'ai particuliérement apprécié,
d'ailleurs; la compagnie des farfadets est bien faite pour me
plaire!...Vos livres sont sur ma table de chevet. Chaque soir
je lis une nouvelle...ce qui ,sans doute, oriente mes rêves
vers de drôles d'univers, moins farfelus qu'il n'y paraît à
première vue, en compagnie d' un Sam incontournable qui change
de visage au fil des histoires. Merci pour ce quotidien
agréable...
Je crois que la "Puce" est
une de mes préférées. Bien débridée, avec des ressorts
scientifiques qui se déglinguent dans la joie, la bonne
humeur...et "le Temps des Cerises". Un joyeux massacre qui
fait plaisir à lire...
J'avance,
j'avance...je suis plongée dans "les aventures de Sam"et je
vous avoue que j'ai un petit point faible pour ce recueil-là.
Le "sous marin jaune" m'a ravie. Votre délire
pseudo-technique, émis avec un sérieux imperturbable, m'amuse
beaucoup. Il me semble vous entendre vous marrer en
filigrane...Mais -à mon avis, du moins- vos nouvelles sont à
consommer comme je le fais,à petites doses jubilatoires. Elles
mériteraient d'être prescrites par les homéopathes, comme
remède anti-morosité : une nouvelle chaque soir avant de
dormir et remboursées par la Sècu, hein ! Parce que c'est
sacrément efficace.
Gudule.
Romancière.
A propos du récit "le train de 3h13"
Monsieur,
Nous sommes déjà deux à avoir lu avec
intérêt et amusement votre nouvelle de vraie fausse
science-fiction. Je pense que nous pourrons donner un avis
favorable à son insertion dans Lettres comtoises, même si nous eussions (!) préféré qu'il
s'agît (!) d'un total inédit.
Littérairement et amicalement
vôtre,
Jean-Paul COLIN, rédacteur en chef de la
revue "Lettres Comtoises"
A propos de mon livre "Histoires Comtoises
improbables"
J'ai lu votre livre ce week end et donc je
reviens vers vous comme convenu.
Imagination très fertile ! et vision
relativement pessimiste d'un avenir qui
pourrait ressembler à celui que vous
décrivez dans certaines de vos
nouvelles...
j'ai particulièrement apprécié "le vol du
bourdon", "retour", et le coté
post-apocalyptique de" un petit fleuve
tranquille" ( ou presque pourrait-on
rajouter !!)
Sous la "naïveté" de certains textes on
touche toujours une cause profonde
(écolo, humaine , philosophique etc.) qui
obligent à une réflexion sur le
monde qui nous entoure...
j'ai donc passé un agréable moment.
Le
Cd est bien réalisé et la lecture agréable.
voilà ce qui en est pour mes impressions
personnelles !
Bonsoir,
Bon, eh bien, je voulais déguster votre
livre pour faire durer le plaisir mais finalement, je l'ai
dévoré !!!! J'ai beaucoup aimé, et en plus, ça me redonne
l'envie d'écrire, c'est magique, n'est ce pas ?
Maintenant, je sais ce que je vais offrir pour les prochains
anniversaires !
La première nouvelle ("Après") m'a
fait penser au livre Niourk, connaissez-vous ? Si ce n'est pas
le cas, je vous l'envoie, je pense que ça vous plairait...
Sinon, en lisant votre livre, j'ai pensé aussi à Poul Anderson
avec ses voyages temporels. Il y a juste une nouvelle que j'ai
trouvé un peu longue, c'est cette histoire de vengeance, mais
bon, il en faut pour tous les goûts !
En tout cas, je
sens que je vais en acheter d'autres, mais pas tout de suite
car j'ai repris un livre à la bibliothèque et j'ai un mois
pour le lire
Gaêlle.
Bonjour
J'ai commencé à lire mais ça n'est pas une
littérature pour moi. Je n'y suis pas sensible. Je ne sais pas
pourquoi. Peut-être parce que les personnages agissent
beaucoup mais n'existent pas assez à mon goût. Peu importe. On
ne peut pas tout aimer.
Par contre, votre démarche me donne à
réfléchir. Je trouve assez formidable cette liberté, cet
enthousiasme à faire exister vos histoires, dans leur
matérialité même.
Je
ne doute pas que vous ayez envie d'être lu (et reconnu, comme
tout le monde) mais le plaisir que l'on sent dans la
fabrication du livre laisse deviner une certaine distance avec
l'idée de succès. Comme si ce plaisir de fabriquer valait bien
autant que le plaisir d'être diffusé. Il y a quelque chose de
juvénile dans cet cet enthousiasme, quelque chose de
joyeusement désinhibé.
Vous jouez probablement depuis toujours
avec ces idées poétiques ou fantastiques. Mais arrivé le
moment où vous avez décidé de les délivrer, vous n'alliez pas
gâcher ce plaisir en espérant patiemment des réponses
d'éditeurs.
En
fait, c'est cette idée de plaisir qui me touche.
Si
le succès se présente, j'imagine que vous l'accueillerez avec
bonheur mais votre plaisir est déjà là.
Tant d'auteurs sacrifieraient tout plaisir
pour un peu de succès.
Il
y a peut-être une grande sagesse dans votre modeste
entreprise.
Ça
me fait penser à ce poème de Kipling (Tu seras un homme, mon
fils) où l'auteur écrit :
(.) Si tu peux rencontrer Triomphe après
Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même
front (.)
Cordialement.
Pierre